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•• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » |
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Jewel P. Edwards
p o s t s : 5
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se foutent de ce qu'il se passe
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Sujet: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:36 |
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blew akiss
Feat Ellen Page; © Anarya | Who am I in this world ?
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▬ A g e : . Mon âge ? Quel âge puis-je avoir à ton avis ? Réfléchis bien ... et évite de me sortir une vanne, toujours pas ? Bref, je suis née il y a déjà vingt-trois printemps, ça te va comme réponse ? ▬ O r i g i n e : . Ben tu sais quoi, j'ai des origines italiennes ! Hé ouais ! Ma mère était une italienne de pure souche mais mon père était un américain, donc vous voyez un peu le mélange ! ▬ D a t e . & . L i e u . d e . N a i s s a n c e : . 14 février 1986 à Venise. (Je sais, le 14 février et à Venise, ça fait un peu beaucoup mais je n'ai rien pu faire ...) ▬ S u r n o m s : . J'avoue ne pas beaucoup aimer les surnoms mais bon ... les principaux est J. qui dévie parfois en Jey' mais il y a aussi Bee, c'est uniquement ma sœur Charlie qui peut m'appeler de cette manière. Sinon, on m'appelle par mon deuxième prénom, Peach. ▬ E m p l o i : . Huum ... Disons que j'ai eu quelques problèmes il y a quatre ans et à cause de ça, j'ai dû arrêter mes études de stylisme que j'avais pourtant bien entamé. D'ailleurs, j'ai décidé que je m'y remettrai dès que je pourrai, je dessine des croquis dès que je peux. ▬ O r i e n t a t i o n . S e x u e l l e : . Hétéro ! ▬ E t a t . c i v i l : Célibataire [X] ; En couple [] avec ... ; Marié [] avec ... ; Divorcé [] ; Veuf [] ▬ L o i s i r s : . Regarde un peu plus haut ... Voilà ! Mon plus grand loisir reste le dessin, en particulier tout ce qui est vêtements et accessoires. Le stylisme en gros ! Mais souvent pour m'inspirer, je regarde beaucoup de films et lit beaucoup de livres. Oh et je joue du piano aussi ! Si si ! Depuis mes cinq ans ! Mais vous vous en foutez hein ? ▬ G r o u p e : . « I Don't Care »
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[list] Remember me how it's like ?. ▬ P h y s i q u e : Mon physique ? Bon pour une fois je vais éviter de faire ma vantarde. Le plus grand drame de ma vie reste sans doute le fait que je suis petite. Si c'est vrai ! Les autres ont beau toujours me dire que ce n'est pas vrai, je sais que c'est pour me faire plaisir (ce qui ne marche pas du tout au passage). Je suis petite, voilà et je complexais à mort quand j'étais plus jeune. Certaines personnes font deux têtes de plus que moi ! Et le pire c'est sans doute que je n'aime pas porter des talons. Qui a dit que toutes les italiennes sont toutes de belles grandes brunes au teint hâlés et qui portent des escarpins Prada que je lui fasse bouffer mes chaussures par ses trous de nez ? Si je ne suis pas grande, mon teint est encore moi halé. J'ai ce qu'on appelle un teint de porcelaine, pâle et mate, voir même blanche sur certaines photos à une lumière particulière. Mais, ce qui fait surtout paraître ma peau blanche ce sont mes cheveux. Et là vous vous demandez de quoi je parle hein ? Je parle du fait que mes cheveux sont bruns, vraiment bruns donc le contraste et saisissant. Ah ! Tant qu'on parle de mes cheveux, je n'ai pas de trucs particuliers pour les coiffer, soit je les laisse lâcher sur mes épaules, soit je les attache en queue de cheval ou en chignon vite fait, c'est rarement autre chose. Dans un autre genre, mes yeux sont marrons, la couleur la plus banal du monde en ce qui concerne les yeux mais là non plus, je n'y peux pas grand chose. Et le reste de mon visage ? Des clichés ! Y a pas grand chose à dire sur ça sinon des trucs débiles, alors je me tais, c'est plus prudent. Niveau corpulence, à part ma taille comme je vous l'ai répété, je pense ne pas avoir à me plaindre. Pour terminer ce sujet, j'aborderai comme il se doit mon style vestimentaire. Donc comme je l'ai aussi dit tout à l'heure (je sais, je me répète) je ne porte jamais de talons hauts, je n'aime pas. Je ne porte rien de trop claquant ni de trop court ou décolleté *hum hum*. Dans l'ensemble, ce sont des choses plutôt simples : des chemisiers, des petits pulls sombres, des t-shirt, des vestes de survêtements ... Mais je ne néglige pas la façon dont je m'habille attention ! Mais rester deux heures à me pomponner devant une glace n'a jamais été mon truc. Je mets des trucs où je suis à l'aise, où je peux marcher, courir, sauter ... Enfin vous voyez le topo. Ça ne veut pas dire que je n'aime pas les autres styles, je fais quand même des études de stylisme après tout ! Je dois être ouverte d'esprit, même s'il y a des limites à tout, vous vous en doutez. Si je porte des bijoux ? Oui, j'aime assez tout ce qui est petit accessoires. Mes oreilles ne sont pas percées, mais si vous voulez mon avis, je me rattrape largement dans les bagues : j'en ai trois à chaque mains que je ne quitte jamais. Je porte aussi le collier de ma mère en argent que là aussi, je ne quitte jamais et pour terminer, une chaînette en or à la cheville droite. Voilà, vous êtes satisfaits ?
▬ C a r a c t è r e : Mon caractère -que beaucoup décrirait comme un caractère de merde- ne pourra pas changer. Pour ceux à qui ça ne plaît pas donc, et bah c'est dommage hein !! Passons. Les gens qui me connaissent vous diront que je suis une fille qui n'aime pas à avoir une vie dite "calme". Non mais c'est vrai, quel intérêt ? Je suis assez active dans mon genre, même si je passe beaucoup de temps sur mon canapé à regarder des films, ça ne m'empêche pas de faire pleins d'autres choses à côté comme du sport et autres activités qui ne vous regardent pas. Je suis ce qu'on appelle une impulsive : réfléchir ce n'est pas trop mon truc vous voyez. Je fais ce que me dicte mon instinct sur le moment ... et j'avoue que ce n'est parfois pas la bonne solution. Le résultat n'est pas garanti bien sûr, ça peut donner des choses où on se retrouve dans la me ... mouise. Je suis quelqu'un de bornée, mon père n'arrêtait pas de m'appeler sa tête de mule adorée. On appelle ça de l'orgueil et il est difficile de me faire avouer que j'ai tort ... même si c'est le cas ... Vous me suivez ? C'est connu, les italiens ont le sang chaud accompagné d'une grande dose de fierté ! Je ne sais pas si c'est vrai pour tous mais en tout cas, ça l'est pour moi, malgré le fait que je n'ai pas habité très longtemps là-bas. C'est comme ça, les gènes on y échappe pas. J'ai dû mal à rester calme devant certaines choses et bien sûr, je ne me laisse pas faire quand on m'attaque. Peu importe que celui d'en face ait deux têtes de plus que moi ! J'ai toujours ce besoin de dépasser mes limites, de passer au niveau suivant ce qui me fait parfois d'ailleurs passer pour une folle dingue. Bon disons que étant ici depuis quatre ans, je me suis pas mal calmée, mais ça c'est vite dit. Mise à part tout ça, il y a tout de même trois ou quatre autres trucs que je dois vous préciser. En premier, je suis bordélique, le rangement et moi ça fait encore plus que deux. Parfois je mets à chercher mon portable pendant deux heures alors qu'il était dans ma boîte à bijoux. Pas très glorieux je sais. Sinon, étant bornée, je suis forcément assez déterminée comme une fille, je ne lâche pas facilement le morceau, voir même jamais. Je suis une grande débrouillarde et indépendante. La seule chose à laquelle j'ai été dépendante dans ma vie à justement faillit me la coûter donc plus jamais. Mais je suis plutôt joyeuse dans l'ensemble, vous me verrez parfois en train de sauter en l'air toute seule en train de rigoler pour des trucs débiles en plus. Juste pour le fun. Mais comme je ne suis pas wonder-woman, ça peut pas être comme ça tous les jours hein ! Bon pour toutes les autres choses que j'ai oublié vous verrez ça bientôt.
What is the best in my life ?
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▬ M u s i q u e . é c o u t é e : Les B.O de Romeo+Juliet et de Gangs of New York ▬ C h a n s o n . p r é f é r é e : Euuuh ... y en a trop ! Ça dépend des périodes en fait ! Un mois sur l'autre ça change et la chose s'étend même à la musique des autres continents. Mais je serai incapable de répondre à cette question vraiment trop difficile. ▬ P l a t . p r é f é r é : Mon péché mignon dans la nourriture ... c'est sans aucun doute la nourriture chinoise : nems et compagnie, je n'arrive pas à résister ! ▬ B o i s s o n . p r é f é r é e : Hum ... Je devrais pas vous dire ça mais c'est le whisky, et la vodka, et le coktail 007 ... et dans un autre registre, le Ice Tea. ▬ L i v r e . p r é f é r é : La saga des Alex Rider, de Anthony Horowitz ▬ F i l m . p r é f é r é : Moulin Rouge, parce que c'est le seule film qui me fait chialer à chaque fois que je le regarde. ▬ C o u l e u r . p r é f é r é e : Dans les bleus, violets etc. ▬ A n i m a l . p r é f é r é : Le chat. ▬ S a i s o n . p r é f e r é e : Le printemps. ▬ S i g n e . A s t r o l o g i q u e : Verseau. ▬ S i g n e . A s t r o l o g i q u e . C h i n o i s : Tigre. Ah ah ! Ça t'embouches un coin que je le sache hein ? ▬ Q u e l q u e . c h o s e . e n . p l u s ? Je sais me battre ? Ben quoi c'est le seul truc qui m'est venu à l'esprit ! Tu me poses une question je te réponds ! ▬ U n . m o t . p o u r . t e . d é f i n i r ? Huuum ... je pense que chiante serait le mot qui convient. Who is the real me ?
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▬ Â g e : 15 années d'existence ▬ Q u e . p e n s e . t u . d u . f o r u m ? Ben il est beau Autrement je serai pas là. ▬ O ù . l' a s . t u . t r o u v é ? Grâce à une certaine membrounette ▬ A s . t u . d e s . s u g g e s t i o n s . à . n o u s . f a i r e ? Euuh nan. ▬ A s . tu . q u e l q u e . c h o s e . à . d i r e . p o u r . f i n i r ? ▬ E x e m p l e . d e . R p : - Spoiler:
(c) Boundary« Quand on voit la vie telle que Dieu l'a faite, il n'y a qu'à le remercier d'avoir fait la mort. »Alexandre Dumas fils, Denise. Quelle idée ! Mon Dieu quelle idée d'avoir fait une telle connerie ! Voyez ce qui était arrivé ! Vois ce qui est arrivé ...
Décidément, les vampires croisaient un peu trop sa route depuis son arrivée à Decorah. Pas qu'elle ne soit pas habituée à en croiser, au contraire. A la Nouvelle-Orléans et à Baton Rouge, ils en avaient croisé énormément et au départ, Roxanne avait eu un peu de mal à les décapiter sans état d'âme, mais à quinze ans, était ce si étonnant ? Donc non, miss Laundry n'était pas désarmée face à cette soudaine manie de rencontre des vampires une fois tous les deux jours. Elle savait parfaitement que ces saletés gardaient en mémoire l'odeur des humains qu'ils croisaient, ils devaient être rancuniers à cause de la perte de l'un des leur ? Mais pas de quoi s'inquiéter, Roxanne n'avait plus d'états d'âme en tuant toutes ces créatures comme elle en avait durant son adolescence. Elle avait grandi trop vite, son enfance s'était envolée quand les policiers étaient venus ce soir là, annoncer la mort de ses parents. Tout était parti en moins d'un an, l'innocence, la pureté et toutes les choses qui caractérisaient d'habitude une enfant, une petite fille qui n'avait rien demandé à personne. On lui avait appris à tuer, à réfléchir et à écouter son instinct comme un adulte. Elle avait entamé tout doucement un voyage qui l'avait menée à ses facettes les plus sombres et ces dernières années étaient le parfait exemple. Roxanne avait l'impression d'être au bord d'une gigantesque falaise, au soleil couchant et ou l'écume des vagues bouillonnaient en s'écrasant sur les rochers quelques centaines de mètres plus bas. Devant elle, Lucifer qui lui tenait la main, derrière elle, le vide menaçant et le chant de la mer qui paraissait pourtant tellement plus calme. Et Roxanne préférerait sauter que de prendre la main de Lucifer. Plutôt crever que de le toucher mais si les choses dans la réalité étaient différentes ?
Pour en revenir à nos amis les vampires, elle était seule ce soir. Milena avait obligé Jaylon à aller avec elle au restaurant. Alors, Roxanne s'était lancée pour démanteler le nid de ces créatures de la nuit qui s'était basé à Decorah et qui avait tué déjà deux personnes. Commençant à avoir de l'expérience dans le domaine, elle avait appris qu'ils se faisaient passer pour des gens importants venus de New York et surtout, qu'ils donnaient une fête dans leur magnifique demeure isolée de toute habitation. Bien sûr, Roxanne n'avait pas su résister à l'opportunité et avait purement et simplement pensé à l'infiltration pour réussir ce qu'elle avait entrepris. Elle s'était préparée au manoir : une petite robe noire à paillettes argentées, ses cheveux épais attachés en chignon et à nouveau des escarpins noirs. Puis, elle avait passé beaucoup de temps à se maquiller et à se parfumer pour faire en sorte que son odeur soit un minimum masquée. Un minimum hein ! Étonnant si la chose serait suffisante mais de toute façon, le plan de la jeune femme était fait. Ils ne pourraient pas l'attaquer en public, ils avaient invité des gens importants. Comment Roxanne allait-elle pouvoir s'y rendre ? Quand on était une chasseuse, on savait recourir à tous les stratagèmes possibles et c'est ainsi que Roxanne s'était procuré une invitation, fausse évidemment mais une invitation quand même.
Voilà pourquoi, au moment où je suis en train de vous parler, elle se trouvait devant la somptueuse maison d'Henry et Ivy Kennyworth, les vampires en questions dont quelques subalternes trainaient probablement dans le coin, au cas où. En entrant dans la demeure, Roxanne tenait vainement d'arrêter les battements de son cœur qui lui criaient de faire demi-tour, qu'elle se jetait dans la gueule du loup. Elle réussit à chasser cette idée de piège de ses pensées. La jeune femme avait tout ce qu'il fallait : un poignard était attaché à sa cuisse droite, caché par les pans de sa robe. D'ailleurs on ne pouvait pas techniquement dire que Roxanne passait inaperçue parmi toutes ces longues robes argumentées de riches bijoux, seulement, ces gens là étaient tellement accaparés par leur petite personne que la jeune femme subissait leur indifférence. Des petits fours, des chandeliers, des gravures, un groupe de musiciens classique ... Tout était fait pour en mettre plein aux yeux, comme pour détourner tous ces gens de la véritable nature du couple Kennyworth et de certains de leurs domestiques. En parlant d'eux, elle ne les voyait nul part, pourtant Roxanne savait que ce n'était pas dans leurs habitudes, qu'ils aimaient accueillir leurs invités et se pavaner devant eux comme un paon en recherche de l'âme sœur.
Miss Laundry attendit quelques minutes pour ne pas paraître trop suspecte avant de commencer son travail. Toutes ces fanfreluches n'avaient que trop duré. Avant de quitter la grande salle où avait lieu la réception, elle piqua un toast au saumon, histoire de ne pas travailler le ventre vide. En sortant de la pièce où régnait un brouhaha de mondanité, Roxanne manqua de se faire repérer par Ivanov, le plus fidèle serviteur des Kennyworth mais au dernier moment, elle se réfugia derrière un serveur qui lui lança un drôle de regard. Peu importe. Elle regarda à droite, à gauche, autant dire qu'elle ne connaissait pas les lieux et qu'elle agirait donc à taton. Quoi que ... Avec un peu de chance, le manoir Kennyworth était peut-être configuré comme celui des Vosesviatski ? Si c'était le cas, cela lui faciliterait les choses. Elle oublia alors le reste du rez-de-chaussée et monta directement à l'étage qui était interdit aux invités mais une œillade au garde du corps et un coup de pied bien placé et l'affaire fut dans la poche. Quel malchance pour lui qu'il ne fut pas un vampire. Marche après marche, la chasseuse se retrouva dans un sombre et long couloir totalement désert à la recherche du couple Kennyworth. Pas à un seul moment, elle ne songea que ce qu'elle faisait était purement du suicide. Sa détermination et son obstination l'aveuglaient.
Quatre pièces fouillées plus tard, Roxanne s'approchait de la cinquième. Elle entendait vaguement le murmure de la fête en dessous mais cela lui donnait l'impression qu'il ne s'agissait plus que d'un souvenir. Elle tourna doucement la poignée, son poignard en main, prête à bondir sur n'importe quoi. Mais une fois la porte ouverte, Roxanne vit qu'il n'y avait rien, vraiment rien. C'était une petite pièce totalement vidée, seul un matelas dénudé trônait dans un coin, et la seule lumière qui permettait d'y voir quelque chose était celle de la lune, qui était presque pleine ce soir. La jeune femme y fit tout de même un pas pour s'assurer que les ombres ne lui cachaient rien d'important ... Trop tard. Un courant d'air froid le caressa la nuque et lorsqu'elle se retourna, Roxanne n'eut le temps que de voir la silhouette imposante et carrée d'un certain Henry Kennyworth. Il la gifla tellement fort qu'elle fit un vole plané pour aller s'écraser contre le mur avant d'atterrir sur le matelas. Roxanne en eut le souffle coupé sur le moment, allongée, le visage contre la seule chose qui se trouvait dans cette pièce et ses cheveux auburn formant une espèce d'auréole. Il fallait se reprendre, et vite. Elle serra les doigts de sa main droite mais à sa grande surprise, son poignard ne s'y trouvait plus.
HENRY ▬ C'est cela que tu cherches peut-être ? Roxanne releva la tête pour voir Kennyworth tenir son poignard, un sourire sardonique aux lèvres. Il jubilait tellement de la voir en son pouvoir, sauf que Roxanne n'allait pas abdiquer. Mais une fois de plus, il fut plus rapide qu'elle. Alors que la chasseuse se redressait, Henry la saisit par les cheveux et approcha son visage machiavélique du sien.
HENRY ▬ Ivy et moi savions que tu allais venir et tu sais quoi ? Nous allons te laisser en vie parce que tu nous amuses beaucoup. Cela ne va pas m'empêcher de te donner une bonne leçon. Tout se passait trop vide et Roxanne avait renoncé à appeler à l'aide. Henry Kennyworth s'arrangerait pour faire croire à ses invités que c'était elle qui était venue pour le tuer (ce qui dans un sens était vrai). Comme si elle avait été aussi légère qu'un nourrisson, il la balança contre la fenêtre. Roxanne n'eut même pas le temps de crier. Elle sentit le verre glacé ses briser sous son poids dans un bruit cristallin et ensuite, la chute. Elle avait déjà été défenestrée mais pas aussi sévèrement. L'atterrissage fut plus rude que tout à l'heure et le souffle lui manqua plus longtemps. Allongée sur la terre humide du jardin du manoir, en pleine nuit, elle se sentait tellement humiliée qu'elle ne sentait même pas la douleur. Roxanne avait l'impression de ne plus rien voir, tout le manoir et ses lumières lui paraissaient totalement flou, juste des ombres. C'est alors qu'elle sentit le goût métallique et froid du sang dans sa bouche et couler le long de son menton, résultat non seulement de sa rencontre prématurée avec un mur mais aussi avec sa chute du premier étage. Mais il n'y avait pas que ça, il y avait une autre douleur plus cinglante qui la clouait au sol. Roxanne leva lentement la tête pour voir que trois morceaux de verre, dont un de la taille d'une tête d'homme, étaient plantés dans son ventre. Sa respiration était lente, saccadée et difficile.
Mais lorsqu'on a eu une vie chaotique comme celle de Roxanne, on ne restait pas étendu sur le sol à attendre la mort sans se battre. Elle trouva le force de retirer les morceaux de verre, un à un non sans pousser un cri à chaque fois. Elle ne devait attendre d'aide de personne, personne. Le sang commença à s'accumuler sur ses mains et il fallait rassembler du courage pour se lever. Roxanne se rendit compte à quel point elle n'aurait pas dû agir ainsi, le risque était énorme et elle ne s'en était pas rendue compte avant ... Quelle erreur. Au bout de cinq minutes, dans un tel silence qu'il en était assourdissant, la chasseuse se retrouva sur ses deux jambes au prix de nouveaux pics de douleur qui la lançaient toutes les cinq secondes. Sa jolie robe était dans un piteux état, entre les déchirures et les filets de sang, mais la jeune femme n'était pas vraiment mieux. Son esprit était embrumé, sa vue devenait floue et ses jambes menaçaient de la lâcher à tout moment. La voiture ... Le parking ... L'hôpital ..., pensait-elle. Roxanne se traîna jusqu'à la rue où elle avait garé sa voiture en arrivant, il y avait à peine une demi-heure. Cela lui semblait tellement loin maintenant. La jeune femme se traînait littéralement, se tenant à tout ce qu'elle pouvait pendant le chemin, se voulant le plus discrète possible mais ce n'était pas aisé lorsqu'on avait trois trous dans le ventre d'où coulait tranquillement un flot incessant de sang.
Elle crut une dizaine de fois qu'elle ne tiendrait jamais jusqu'à sa Maserati, qu'elle s'écroulerait bien avant de l'atteindre mais non. Roxanne finit par l'apercevoir là où elle l'avait laissée et dut se faire violence pour l'atteindre. Elle resta le dos appuyé dessus quelques secondes puis ouvrit la portière. Chaque mouvement lui coûtait en force et déclenchait en elle un mouvement de douleur poignant. Roxanne s'assit très lourdement sur le siège du conducteur et le souffle court, se reposa à nouveau quelques secondes. Elle se sentit à ce moment incapable d'appuyer sur la pédale et d'aller seule à l'hôpital. C'était trop dur mais il le fallait ... Elle se saisit des clefs, tremblantes à tel point qu'elle dut se reprendre à onze fois avant de réussir à mettre le contact. Le vrombissement rassurant du moteur finit par se faire entendre et ses mains ensanglantées saisirent le volant. Dans ce genre de moment, Roxanne pouvait agir mécaniquement, par instinct de survie mais là, c'était différent. Le trajet vers l'hôpital fut tout aussi chaotique que cette maudite soirée. Elle démarra en trombe mais se foutait de discrétion, elle conduisait vaguement et sans aucune précision. Elle se sentait tellement faible qu'elle faillit provoquer deux accidents en roulant aussi vite, déclenchant à son passage un concert de klaxon. Voilà pourquoi Roxanne aimait sa voiture : parce qu'on pouvait toujours compter sur elle si on était en retard. Sa Maserati arpentait les rues de Decorah tel un fauve à la poursuite de sa proie et qui finissait par la trouver : le saint-honnora hospital de la ville. Roxanne ne se demanda pas comment, avec les yeux totalement brouillés, elel avait été capable de trouver son chemin, elle n'était plus capable de réfléchir, seulement de lutter.
En sortant de sa voiture, elle manqua de s'écrouler au sol, toutes ses forces l'avaient abandonnée et elle se retrouva à nouveau par terre, sur le goudron sale du parking. Mais elle sentit soudain une main chaude sur son épaule.
HOMME ▬ Vous allez bien mademoiselle ? Un passant, c'était un simple passant. L'homme se mit en face de Roxanne et vit alors dans quel état elle se trouvait, sa robe déchirée, le sang sur son menton, ses main et son ventre. Ses yeux s'arrondirent.
HOMME ▬ Ne vous en faites pas, je vais vous aider. Roxanne ne put refuser. Il passa son bras autour de ses épaules, l'aida à se redresser et laissa la jeune femme s'appuyer complètement sur lui. Le soulagement de la chasseuse était énorme mais pas complet. Cela ne suffirait peut-être pas vu son état. En tous les cas, c'était rassurant qu'en ce bas monde, certaines personnes puissent encore faire ça pour une parfaite inconnue. Bref. L'homme l'aida à marcher et lorsqu'ils entrèrent dans l'hôpital, ce fut l'explosion. Ils ne rentrèrent pas dans la salle d'attente comme Roxanne s'y attendait mais directement dans le couloir. Sentant ses jambes plier, elle entendit son presque sauveur crier.
HOMME ▬ Un médecin vite ! MEDECIN ▬ Seigneur ! Qui est ce Jonas ? JONAS ▬ Je l'ai trouvée sur le parking ... Mademoiselle vous m'entendez ? Non Roxanne ne l'entendait plus.
▬ C o d e . r é g l e m e n t : - Spoiler:
Vive les pélicans ! (bravo pour ce super code qu'on aurait jamais su deviner ! mdr)
Dernière édition par Jewel P. Edwards le Dim 27 Sep - 12:09, édité 23 fois
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Jewel P. Edwards
p o s t s : 5
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se foutent de ce qu'il se passe
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:36 |
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Chapitre premier : « Viens Joséphine dans ma machine qui vole, monte ... » Titanic
Ooh nooon, non, non ! Le bruit singulier des talons aiguilles retentit dans une rue de Venise, une chevelure brune virevoltante et une silhouette enveloppée dans une couleur crème. Selene Ambesi maudit une fois de plus son siamois Leo de s'être échappé de la maison juste avant son départ pour le bureau. Elle avait a présent vingt minutes de retard ! Oh la la ! Elle allait se faire décapiter par son patron !! Selene serra la bandoulière de son sac à main contre elle, manqua d'abimer ses Louboutins en montant sur le trottoir et poussa un soupire de soulagement en se retrouvant devant la porte du bâtiment où elle travaillait. En passant devant les vitres de l'entrée, la jeune femme qui venait de fêter ses vingt-cinq ans il y a trois jours, prit quelques secondes pour reprendre son souffle mais aussi pour se recoiffer. Bon, voilà ! Selenne entama son avancée dans le grand hall, étant tout à fait consciente que les harpies de l'accueil ne devaient pas la lâcher des yeux et même chuchoter à son passage. Qu'est ce qu'elle pouvait détester ça ! Elle essaya d'oublier ce point, et d'une démarche rapide et adroite, avança devant l'ascenseur. Miss Ambresi appuya nerveusement sur le bouton d'appel et quand les portes s'ouvrirent, elle se précipita dans l'ascenseur. Ouf ! A l'abri pendant quelques secondes. Pourvu que son retard passe inaperçu ! Le patron l'avait déjà dans sa ligne de mire depuis l'incident de l'autre jour. Bref, lorsque les portes s'ouvrirent, Selene arriva dans le hall luxueux du dixième étage, celui où se trouvait le bureau de son patron, juste derrière la porte aux vitres troubles. Allez, un virage à droite et on tombe sur ...
NOVELLA ▬ Ah ! Te voilà enfin ! Qu'est ce que t'as foutu bon sang !? J'y crois pas que tu m'aies laissée seule une matinée comme celle d'aujourd'hui ! SELENE ▬ Je suis vraiment désolée ! Leo est sortie au moment où j'allais partir ... Attends, y a quoi ce matin ? Novella la regarda comme si elle était devenue une demeurée, restant silencieuse pendant quelques secondes.
NOVELLA ▬ Tu te fous de moi là ? Les américains ! Voilà ce qu'il y avait ce matin !! Le patron était sur le pied de guerre et tu m'as laissée gérer ça toute seule ! SELENE ▬ Oh pardon ! Pardon Novella ! Je suis vraiment désolée ! Je ne voulais pas, ça m'était sortie de la tête ! Pardon ... NOVELLA ▬ Ça va, ça va c'est bon. Mais si jamais tu me refais ce coup là je te jure que je t'achève ! Selene demeura interdite quelques instants. Comment avait-elle pu oublier que les américains venaient aujourd'hui ? Comment avaient-elle pu oublier ça alors que c'était un tournant pour la boîte et que leur patron avait passé des mois à le leur répéter ? Si la demoiselle commençait déjà à perdre la tête à son âge, il y avait de quoi s'inquiéter pour son futur ! Selene s'excusa encore quelques fois avant que sa collègue et amie Novella Giacon lui dise de s'asseoir et de faire comme si, au cas où. Selene obéit docilement, enleva son impair crème pour le poser sur le dossier de sa chaise et s'installa à son bureau. La jeune femme avait beau être d'une maladresse légendaire, elle n'en restait pas moins consciencieuse. Selene sortit tout ce qui lui fallait pour travailler et eut à peine le temps d'attacher sa longue crinière auburn que le téléphone se mit à sonner. Le boulot reprenait, il en était de même pour Novella qui avait son bureau en face du sien. C'est ainsi qu'une heure passa, puis une deuxième avant qu'en fin, les téléphones se turent, accordant une pause aux deux jeunes femmes qui soupirèrent.
NOVELLA ▬ Qu'est ce qu'ils ont tous ce matin !? Ils veulent me tuer ou quoi ! SELENE ▬ A ce point ? NOVELLA ▬ Et bien ça se voit que t'as pas eu le droit à l'appel de M.Panetti ! SELENE ▬ Panetti ? Qu'est ce qu'il voulait ? NOVELLA ▬ Savoir où en était l'achat de la nouvelle collection par les américains. Je lui ai dit que c'était encore en cours ... Les deux secrètes du grand patron de la boîte, M.Nerini, échangèrent un regard angoissé avant de fixer la porte du bureau de ce dernier, là où tout se jouait. Peut-être même l'avenir de la boîte ? L'angoisse totale, surtout quand on savait que l'entretient durait déjà depuis plus de deux heures.
SELENE ▬ Comment ils étaient les américains quand tu les a vus arriver ? NOVELLA ▬ Hein ? SELENE ▬ Comment ils étaient ? Calmes, détendus, joyeux, impassibles, barbés, énervés ... Enfin tu vois le truc quoi ? NOVELLA ▬ J'en sais rien ... Euuuh ils semblaient biens, enfin normaux ... Mais je sais que Nerini était anxieux car c'est la première fois qu'il traite avec lui. SELENE ▬ ??? NOVELLA ▬ Réveille toi Selene ! Le PDG américain qui est dans le bureau de Nerini c'est le fils de Ewan Edwards ! Tu sais, celui avec qui on avait l'habitude de traiter mais qui est mort il y a deux mois d'un cancer des poumons ! SELENE ▬ Oh oui ! Bien sûr ! Tu te rappelles tous les cigares qu'ils fumaient ? NOVELLA ▬ Ces américains se croient vraiment tout permis ! Selene hocha la tête et toutes les deux rirent de bon cœur. Elles faisaient bien attention à ne pas élever la voix, imaginez la catastrophe si jamais on l'entendait parler de feu Ewan Jules Edwards en ces termes ? Surtout son fils que d'ailleurs, Selene ne connaissait même pas.
SELENE ▬ Comment est son fils alors ? NOVELLA, un drôle de sourire aux lèvres ▬ Mmmm ... Hugo a vingt-sept ans. SELENE, étonnée ▬ Tu l'appelles par son prénom ? NOVELLA ▬ Crois moi quand je te dis que j'aimerai faire plus que l'appeler par son prénom ... SELENE ▬ Novella ! NOVELLA ▬ Quoi ? Je te jure, à mon avis il ferait pâlir Brad Pitt et Tom Cruise réunis ! Han tu verrais les fesses qu'il ... Novella dut arrêter la description car la porte du bureau de M.Nerini venait tout juste de s'ouvrir. Les yeux des deux secrétaires se tournèrent en même temps dans la même direction. Ce fut une femme brune, la quarantaine qui sortit en première. Elle portait un tailleur gris foncé et tenait dans main un bloc note et un stylo. Son visage sévère était néanmoins fendu en un léger sourire. Elle s'écarta ensuite pour laisser place à un jeune homme aux cheveux d'un noir corbeau et courts. C'est en le voyant que Selene comprit ce qu'avait voulu dire il y a quelques secondes Novella. Son teint rosé, ses traits fins et bien dessinés lui donnaient une certaine douceur dans l'expression de son visage, ses yeux étaient marrons, il était grand et d'après ce qu'elle pouvait deviner, il était musclé et très ...
M.NERINI ▬ M.Edwards, voici mes secrétaires, Melle. Giacon et Ambresi. Pour ne rien gâcher à la chose, Hugo Edwards avait un sourire ravageur.
HUGO ▬ Enchanté mesdemoiselles. NOVELLA ▬ Enchantée SELENE ▬ Enchantée. Selene leva les yeux au ciel en voyant que Novella était à deux doigts de lui faire des courbettes. Son amie était vraiment incorrigible. Mais bon. Selene avait son visage de la parfaite secrétaire, qui se voulait, agréable, poli et serviable sauf que face à un tel homme qui avait presque son âge, la chose était beaucoup moins aisée. Soudain, M.Nerini l'arracha à sa contemplation de Hugo en s'approchant.
M.NERINI ▬ Melle.Ambresi, j'ai décidé que ça serait vous qui ferait la visite du bâtiment à notre ami. J'ai de grosses affaires sur le feux et ne peut malheureusement pas le faire. SELENE ▬ Euh ... Bien M.Nerini. Selene s'était sentie bafouiller comme jamais. Si elle s'était attendue à une telle chose ! Hugo Edwards la regardait calmement toujours avec son sourire ravageur qui faisait bondir le coeur de la jeune secrétaire. Comment voulaient-ils qu'elle lui fasse visiter l'immeuble alors qu'il la mettait dans un tel état ? Bon du calme, du calme.
NOVELLA, murmura à son oreille ▬ Veinarde va. Selene se sentit s'empourprer encore plus. Leur patron quitta les lieux pour retourner dans son bureau et Novella retourna s'asseoir à son bureau, un étrange sourire aux lèvres. Selene comprit qu'elle était en train de surveiller la façon dont elle agissait, si elle se mettait à bafouiller ou pas. Miss Ambresi se racla la gorge, Hugo était toujours à ses côtés et patientait. Alors, elle lui fit signe en se dirigeant vers l'ascenseur.
SELENE ▬ Suivez moi M.Edwards. HUGO ▬ Je vous en prie, appelez moi Hugo ! SELENE ▬ Euh ... D'accord. HUGO ▬ ... SELENE ▬ Qu'y a-t-il ? HUGO ▬ Vous ne m'avez pas dit votre prénom.
Dernière édition par Jewel P. Edwards le Dim 27 Sep - 14:54, édité 14 fois
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Jewel P. Edwards
p o s t s : 5
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se foutent de ce qu'il se passe
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:36 |
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Chapitre premier : « - Dans la vie, pour attirer la réussite, on doit commencer par donner l’impression de réussir. » American Beauty
Une voiture s'arrêta dans les rues New-Yorkaises, plongées dans l'obscurité. Enfin, ça aurait été le cas si New York n'était pas la ville qui ne dort jamais. Il y avait toujours une lumière allumée, quelque part, comme une lueur d'espoir au milieu du malheur, comme pour dire qu'on était jamais seul dans la célèbre ville. De la mystérieuse voiture de luxe aux courbes souples et harmonieuses, sortirent deux personnes très différentes. Celle qui sortit du côté conducteur était grande, de sexe masculin, portant un jean, une capuche grise vissée sur la tête et une cigarette au bout des doigts. La deuxième qui sortit donc côté passager était plus petite et plus menue, vêtue d'un sweet à capuche à l'effigie d'une ancienne équipe de base-ball américaine. Le visage impassible de cette dernière faisait contraste avec la lueur dans ses yeux chocolats. Pourquoi étaient-ils tous les deux dans cette rue qui était elle déserte ? Trois autres lueurs rougeoyantes, autre que celle de la cigarette du jeune homme, apparaissaient dans l'obscurité. Cela voulait dire, d'autres lèvres, d'autres doigts. D'autres personnes. Un groupe de cinq autres personnes très précisément traînaient dans les environs. Quels environs ? Bonne question, les seules constructions environnantes se résumaient en plusieurs entrepôts vides à cette heure. L'endroit n'avait vraiment rien de plaisant aux environs de minuit et demi, il y avait de multitudes de cachettes et surtout, de bruits plus inquiétants les uns que les autres. On racontait même qu'une bande de criminels mais peu importe.
Dernière édition par Jewel P. Edwards le Mer 30 Sep - 14:58, édité 3 fois
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Jewel P. Edwards
p o s t s : 5
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se foutent de ce qu'il se passe
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:37 |
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Caitlyn L. Brown
p o s t s : 407
i n s c r i t . l e : 27/08/2009
a g e : 30
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se posent pas des questions
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:37 |
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ELLEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEN <33 JUNOOOOOOOOOOOOOOOOOOOO <33333333333
Bienvenue à toiiiii x) !
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Charlie L. Edwards
p o s t s : 62
i n s c r i t . l e : 19/09/2009
a g e : 32
t o p i q u e r : complètement ouverte héhé
a c t i v i t i s m e : plutôt bon actuellement
i n s p i r a t i o n n é : trop bien inspirationné quoi xD
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui veulent savoir la vérité, man
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:37 |
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- Haaaan welcome flaurinette merci d'avoir pris le rôle j't'aimeuh <33
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Melyana E. Hennington
p o s t s : 328
i n s c r i t . l e : 19/09/2009
a g e : 33
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se posent trop de questions
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 19:54 |
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Ethan A. Hennington
Admin
p o s t s : 722
i n s c r i t . l e : 27/08/2009
a g e : 31
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui veulent savoir la vérité, man
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 20:01 |
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Bienvenue =) Bonne chance pour ta fiche ^-^
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Elena J. Prince
p o s t s : 54
i n s c r i t . l e : 19/09/2009
a g e : 33
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se posent pas des questions
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 20:11 |
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Bienvenue sur le fo' ! Bon courage pour ta fiche = D
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Jewel P. Edwards
p o s t s : 5
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se foutent de ce qu'il se passe
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 20:20 |
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Marchi beaucoup tout le monde
Caitlyn ; UUUUUUIIIIIIII ELLEEEEEEEEEEEENEUH !! ET JUNOOOOOOO ELLE EST TROP FORTE
Charlie ; Haan mais de rien Amynounette de mon cœur c'est normal vu que même si j'avais envie de Cheryl, y a tout que j'aimais et ensuite Ellen évidemment
Elena ; Haaaaan NATALIE !! La classe La pauvre Anne quand même
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Scarlett M. Owens
p o s t s : 80
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
t o p i q u e r : Why not ?
a c t i v i t i s m e : Toujours là =D
i n s p i r a t i o n n é : Touuuuujours !
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se posent pas des questions
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 22:02 |
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Bienvenue ! Moi Ellen ça me fais penser à X-men *A rarement les même réactions que tous le monde* Synan (Sinon, en français, mais je parle pas toujours français) Bonne chance pour ta fichounette !
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Claire A. Ashton
Admin
p o s t s : 285
i n s c r i t . l e : 29/08/2009
a g e : 32
t o p i q u e r : Nop
a c t i v i t i s m e : Overbooked
i n s p i r a t i o n n é : Yeap, toujours
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se foutent de ce qu'il se passe
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 22:08 |
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BIENVENUUUUUUUE <3 JUNO-AND-KITTYPRIDE ROCK <3
Well. Bonne chance pour ta fiche et si tu as des questions, hésite pas !!!
Scarlett >> T'en fais pas, pour moi, Ellen Page c'est Kitty XD la best des bests X-MEN surtout dans le comic <3 dans le film, elle passe pour une grosse salope qui vole le mec de Malicia XD
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Scarlett M. Owens
p o s t s : 80
i n s c r i t . l e : 20/09/2009
t o p i q u e r : Why not ?
a c t i v i t i s m e : Toujours là =D
i n s p i r a t i o n n é : Touuuuujours !
o n l y . y o u • a n d . t h e m : • c r é t i n . a t t i t u d e : • g r o u p i r : Chez les humains qui se posent pas des questions
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » Lun 21 Sep - 22:33 |
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Ouuuuf, je suis rassurée ! Yeah she's a Bitch ! Je lis pas les Bd ... C'est trop long pour moi ! J'préfère lire des romans ! *Non même pas* Bref, j'aime bien Kitty <3 Quand j'étais petite y avais un dessin animé, C'était "X-men" évolution, et bien c'était Kitty Que je préférais en plus son copain il ets pas mal ! Même si je préférais Scott ! Ceci dit, dans les films, je préfère Malicia Parce qu'elle sert à rien Et puis son pouvoir est trop bon C'est le même partout mais bon Jle keaffe partout, parce que je suis sadique un peu beaucoup ... *Va chercher son téléphone et compose le trentchichequinzemaliiiife*
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Sujet: Re: •• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » |
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•• jewel ▬ « Quand le rideau tombe et que les décors s'effondrent ... » |
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